MES MASQUES

J.O DE PEKIN - LE VAINQUEUR -

Rosario

samedi 3 janvier 2009

jeudi 2 août 2007

AFFAIRES CRIMINELLES


Violette Nozières est une femme française, née en 1915 et morte en 1966, qui défraya la chronique judiciaire et criminelle dans les années 1930.

Le 28 août 1933, Violette Nozière, dix-huit ans, est arrêtée par la police. La jeune fille est accusée d'avoir empoisonné ses parents avec du Soménal - un somnifère - une semaine auparavant, dans la nuit du 21 août. Sa mère a pu être réanimée, mais son père est mort.

Le 6 septembre, dans le cabinet du juge d'instruction, Violette affirme que son géniteur était seul visé et l'accuse de pratiques incestueuses : Baptiste Nozières, mécanicien des chemins de fer, aurait abusé d'elle depuis ses douze ans. Les Français sont sous le choc. Les bien-pensants refusent de croire Violette, dont la double vie scandalise : mythomane, voleuse, libertine, provocante, le portrait que l'on trace d'elle n'engage pas à l'indulgence. La vengeresse n'a jamais eu l'attitude d'une victime.

Violette a aussi voulu tuer sa mère, qui durant des années persistait à ne rien voir et ne rien entendre. En lui donnant la mort, Violette a voulu épargner à sa mère la honte, la culpabilité et les remords.

Sa liaison avec un certain Jean Dabin à la réputation également douteuse ne lui attire pas non plus la sympathie des jurés. Selon eux, elle n'aurait agi ainsi que pour avoir les cent soixante-cinq mille francs économisés par ses parents, parents qu'elle avait déjà commencé à voler auparavant, dans le but de continuer à entretenir son amant. Ce sera cette thèse d'accusation qui sera retenue. Sa mère, bien que s'étant constituée partie civile, finit par pardonner à sa fille et implora même le jury :"Pitié, pitié pour mon enfant !"

Malgré tout, Violette Nozière est condamnée à la peine capitale, peine qualifiée de symbolique par l'avocat général puisque, à l'époque, on ne guillotinait plus les femmes. La peine de mort prononcée contre Violette sera officiellement commuée en réclusion à perpétuité le 25 décembre 1934. Le 26 août 1942, Pétain réduit sa peine à 12 ans de travaux forcés et, grâce à une conduite exemplaire en prison, Violette est libérée plus tôt que prévu, le 29 août 1945. Le 15 novembre de cette même année, le général de Gaulle lève même son interdiction de séjour sur la majeure partie du territoire français.

Par la suite, Violette épouse le greffier de la maison d'arrêt de Rennes où elle avait été emprisonnée. Elle renaît à la vie, se réconcilie avec sa mère et eut même 5 enfants auxquels elle ne parla jamais de son passé. Le 18 mai 1963, Violette est réhabilitée par la cour de Rouen et retrouve donc le plein exercice de ses droits civiques et un casier judiciaire de nouveau vierge.

Elle meurt trois ans plus tard, le 18 novembre 1966, en paix avec elle-même et les siens.

samedi 28 juillet 2007

mardi 5 juin 2007

SES FAVORITES ET SES MAITRESSES








Claude de VIN DES OEILLETS,(Mademoiselle des Oeillets) femme de chambre de Mme de MONTESPAN, la Duchesse de FONTANGES, Catherine BELLIER, baronne de Beauvais, Olympe MANCINI, comtesse de Soissons (1637-1708), Marie MANCINI, princesse de Collona (1639-1715, Anne de ROHAN-CHABOT, princesse de Soubise(1641-1709),Catherine-Charlotte de GRAMONT, princesse de Monaco (1639-1678),Louise Françoise de la BAUME le BLANC, demoiselle de LA VALLIERE, duchesse de Vaujours (1644-1710),Madame de LUDRES (1647-1722), Marie-Elisabeth, dite Isabelle, de LUDRES, Marie Angélique de SCORAILLE de ROUSSILLE, duchesse de FONTANGES (1661-1681),Pauline de PIERTOIS (1641-1713).

* Françoise Athénaïs de ROCHECHOUART de MORTEMART , dite Mlle de TONNAY-CHARENTE,
Marquise de MONTESPAN(1640-1707) -

FAVORITE DU ROI AVEC LEQUEL ELLE EUT HUIT ENFANTS.


* Françoise d'AUBIGNE, veuve Scarron, marquise de MAINTENON (1635-1719



MADAME DE MONTESPAN, UNE SEDUISANTE COURTISANE

Fille du duc de Mortemart et de Diane de Grandseigne, Françoise, qui prit plus tard le nom d'Athénaïs sous l'influence de la préciosité, fut d'abord élevée dans un couvent à Saintes. Elle en sortit en 1658, sous le nom de Mademoiselle de Tonnay-Charente. Arrivée à la Cour de France peu après, grâce à l'intervention d'Anne d'Autriche (grâce à la tante de Françoise de Montespan, Anne de Rochechouart de Mortemart, qui fut une de ces camarades de jeu), la jeune fille est attachée au service d'Henriette d'Angleterre, belle-sœur de Louis XIV. Elle épousa en février 1663 Louis Henri de Pardaillan de Gondrin, marquis de Montespan († 1701), dont elle eut Marie-Christine de Gondrin de Montespan (1663-1675) et le duc d'Antin (1665-1736). Elle rencontra Louis XIV, à l'automne 1666. Occupé de son amour pour sa favorite, la duchesse Louise de La Vallière, il ne fit tout d'abord pas attention à elle. Mais lorsqu'elle se lia avec la duchesse, le roi, la rencontrant souvent chez sa maîtresse et chez la reine, remarqua sa conversation piquante, naturelle et enjouée. "A la plus surprenante beauté, elle joignait l'esprit le plus vif, le plus fin , le mieux cultivé, cet esprit héréditaire dans sa famille" dira Mme de Sévigné. Insensiblement, Louis XIV se laissa charmer par la belle marquise, mordante sans méchanceté et agréable conteuse. On convient que Mme de Montespan ridiculisait beaucoup de gens, uniquement pour amuser le roi. Ses sarcasmes n'étaient pourtant pas sans danger. Les courtisans les craignaient. Ils évitaient surtout de se laisser voir sous ses fenêtres quand Louis XIV était avec elle; Ils appelaient cela "passer par les armes". Elle devint sa maîtresse en mai 1667. Son mari, qui avait tenté de tirer avantageusement de la situation dans un premier temps, fit un scandale à la cour lorsqu'il apprit la nouvelle. Il fut promptement enfermé au Fort-l'Évêque, puis exilé sur ses terres, d'où il ne sortait plus jusqu'à sa mort.


MADAME DE MAINTENON,L'AUTRE FAVORITE

Françoise d'Aubigné, (27 novembre 1635, prison de Niort - 15 avril 1719, Saint-Cyr-l'École), plus connue comme Madame de Maintenon, fut secrètement l'épouse de Louis XIV (1643–1715), roi de France et de Navarre.

Née catholique, elle passe sa petite enfance chez Mme de Vilette, sa tante huguenote, à Mursay. Elle va ensuite avec ses parents en Guadeloupe où son père est nommé gouverneur de Marie-Galante.

En avril 1652, à l'âge de seize ans, elle épouse l'écrivain et poète paralytique Paul Scarron (1610–1660) de vingt cinq ans son aîné, protégé de Mme de Neuillant. Elle fut son épouse de 1652 à 1660. Devenue « Madame Scarron », elle devient l’animatrice, du salon ouvert par son mari, rapidement fréquenté par les écrivains de l'époque. Elle se tisse alors, de son côté, un solide réseau de relations avec les beaux esprits du Marais parmi lesquels se trouvent Athénaïs de Montespan. À vingt-cinq ans, elle devient veuve et, si Scarron lui avait inculqué une grande culture, il la laisse sans le sou. De son mariage, Françoise avait gagné l’art de plaire et en avait conservé les relations, ainsi Anne d’Autriche, sollicitée par des amis communs accorda à la veuve Scarron une petite pension. À la mort de la reine mère, sa pension est rétablie par une Mme de Montespan, non encore favorite ; les deux femmes s'étaient rencontrées chez le maréchal d'Albret, cousin par alliance de Mme de Montespan et proche de Scarron. Si Athénaïs de Montespan pensait à elle pour devenir la gouvernante des bâtards royaux, c'était que la veuve Scarron avait su la divertir et qu’elle était discrète mais aussi et surtout parce que Françoise savait bien que l’on gagnait toujours à servir le roi.

AU SERVICE DES ENFANTS DU ROI

En 1669, elle accepte la charge de gouvernante des enfants illégitimes du roi et de Madame de Montespan alors qu’elle vient de refuser d'être la dame de compagnie de la reine du Portugal. Elle s’installe donc à Vaugirard et y rencontre pour la première fois le roi qui s’y aventurait pour voir ses enfants. Elle réapparaît à la cour en 1673 lors de la légitimation des bâtards royaux.

Sa véritable relation avec le roi débuta en 1675, d’ailleurs Louis XIV écrivit dans son journal « il y a quelques jours, un gentilhomme de gris vêtu, peut-être un prince errant incognito entreprit durant la nuit une nymphe égarée dans le parc de Saint-Germain. Il savoit le nom de cette nymphe qu’elle étoit belle, bonne, pleine d’esprit mais sage. La nymphe cependant se laissa faire et ne lui refusa aucune faveur. Cette nymphe ressemblait à s’y méprendre à Mme Sc. ; et je crois deviner qui étoit le prince vêtu de gris. Ce prince est comme moi, il déteste les femmes légères, il honnit les prudes, il aime les sages. », sa faveur commença à se déclarer lorsque en 1675, le roi la nomme « marquise de Maintenon », balayant ainsi le vieux poète Scarron.

Elle s’acquitta avec succès de sa tâche puisque le roi lui conféra en 1680, la charge de « dame d’atour » de la dauphine. C’est à l’occasion de cette charge qu’elle se rendit à Barèges pour soigner le duc de Maine, franchissant le col du Tourmalet en 1675. Par la suite tout s'accéléra, sa faveur grandit, elle forma avec le roi le vrai couple parental des bâtards dont le duc de Maine.

LE MARIAGE SECRET

La disgrâce progressive de Mme de Montespan, compromise dans l’affaire des poisons, et la mort en 1683 de la reine Marie Thérèse d'Autriche (1638-1683) permettent à Mme de Maintenon de prendre un ascendant grandissant sur le roi, jusqu'à le conduire à l'épouser secrètement, dans la nuit du 9 au 10 octobre 1683. Ce mariage restera secret mais le doute planera tout de même à la cour Mme de Maintenon fait planer sur la cour une ère de dévotion et de rigueur. On lui prête une grande influence, faite de rigueur et d’austérité sur le roi et sur la Cour, notamment concernant la décision ayant conduit à la révocation, en 1685, de l’édit de Nantes, qui, « interdisant » les protestants, provoqua l’exode massif de ceux-ci et de leurs capitaux, ce qui eut pour effet de ruiner la France ou l’incitation au déclenchement de la guerre de Succession d'Espagne en 1701.

lundi 4 juin 2007

LOUIS XIV LE GRAND dit LE ROI SOLEIL













Né à Saint-Germain-en-Laye le 5 septembre 1638, décédé à Versailles en 1715, Louis XIV est le fils de Louis XIII et d’Anne d’Autriche, et roi de France de 1643 à 1715. Louis reçut pour deuxième prénom Dieudonné, car sa naissance inespérée eut lieu vingt-trois ans après le mariage de ses parents.

A la mort de son père Louis XIII, Louis n’a que cinq ans et le jeune roi est placé sous la régence de sa mère, confirmée Régente par le Parlement de Paris. Mazarin qui était le parrain de Louis Dieudonné fut chargé de son éducation de futur roi. Ses précepteurs, Hardouin de Péréfixe et le maréchal de Villeroy lui donnèrent une éducation plus pratique qu’intellectuelle.

Mazarin exerça une influence considérable sur son pupille en lui transmettant son goût pour l’art et il l’initiera très tôt aux questions militaires, politiques et diplomatiques, d’ailleurs il fera entrer le jeune roi au Conseil dès 1650.

L’enfance de Louis XIV se déroule dans un climat dramatique qui modèle profondément sa personnalité. C’est la période de la Fronde, la rébellion des Nobles. Il se sent humilié par l’arrogance des Grands de la Cour, Il n’oubliera jamais la fuite de la famille royale obligée de quitter Paris pour Saint-Germain-en-Laye, en janvier 1649, les constants déménagements, les affronts. Il a sous ses yeux d’enfant le spectacle de la trahison des Princes.

Ces années forgèrent les armes à ce futur monarque absolu. La majorité officielle du roi, en 1651, il a treize ans, change la nature de la Fronde. Les atteintes deviennent des "crimes lése-majesté" et en décembre 1652, il fait arrêter le cardinal de Retz, un des chefs de la Fronde des Princes

Louis XIV est sacré roi le 7 juin 1654 à Reims, mais il laisse le gouvernement à Mazarin, tandis qu’il continue sa formation militaire auprès de Turenne. Dans le pays, la guerre d’Espagne s’éternise jusqu’à la signature du traité des Pyrénées qui donne à la France l’Artois et le Roussillon, mais aussi une épouse au roi. Le mariage de Louis XIV avec sa cousine l’infante Marie-Thérèse d’Espagne est célébré le 9 juin 1660 à Saint-Jean-de-Luz.

Mazarin meurt dans la nuit du 8 au 9 mars 1661 et le jeune roi de vingt-trois ans déclare alors à ses ministres :"le cardinal de Mazarin est mort, Messieurs les Ministres, c’est à moi que vous vous adresserez désormais. Je veux à l’avenir gouverner moi-même mon royaume. Je ne veux point de Premier Ministre, je me servirai de ceux qui ont des charges pour agir sous moi selon leurs fonctions et, s’il arrive que j’aie besoin de vos conseils, je vous en demanderai".

Louis XIV choisit pour emblème le Soleil. C’est l’astre qui donne vie à toute chose, mais c’est aussi Apollon, le Dieu de la Paix et des Arts. On retrouve à Versailles de nombreuses allusions à ce dieu de la mythologie grecque.

Le soleil c’est aussi le symbole de l’ordre et de la régularité, il se lève, se couche sans déroger à la règle. Louis XIV sera en quelque sorte le soleil sur la terre, en permettant aux courtisans d’assister à toutes les étapes de sa journée. Le roi est apparu habillé en Soleil lors d’une fête de Cour.

Louis XIV n’était pas très grand, environ un mètre soixante-cinq, robuste et large d’épaules, il imposait par sa prestance et son élégance. On le dit beau, son allure est majestueuse. Jamais fatigué, il ne semble craindre ni la pluie, ni le froid et s’étonne qu’on puisse y être sensible. D’ailleurs, lors de ses déplacements, il fera subir à la Cour le même traitement qu’à lui-même.

Il s’adonne avec fougue aux exercices du corps, il excelle au jeu de paume et danse quelquefois dans des spectacles de ballets. Le film "le roi danse" de Gérard Corbiau illustre parfaitement le portrait de ce jeune roi. De sa mère, il a hérité la piété, mais aussi des manières exquises et un beau langage, même pour les choses les plus frivoles. Il parle avec aisance mais n’aime pas être pris au dépourvu. Aussi lorsque c’est le cas, il répond le "je verrai" demeuré célèbre.

De Mazarin, son guide, il a hérité du goût de l’action et de l’efficacité, de l’art d’écouter. Louis XIV a toujours été avide de s’instruire et de s’informer. Travailleur acharné, il accomplit sa tâche de roi avec bon sens et s’entoure d’hommes ayant une grande puissance de travail comme Louvois ou Colbert. Il s’informe de tout, car il dit :"tout homme qui est mal informé ne peut que mal raisonner".

jeudi 24 mai 2007

EL ARBOL DE NAVIDAD


Quisiera
Armar en estos días
Un hermoso árbol de Navidad.
Y colgar, en lugar de regalos, los nombre
de todos mis amigos. Los de cerca y los de lejos.
Los de siempre y los de Ahora. Los que veo cada día y
los que raramente encuentro, los siempre recordados, y
los que a veces se me olvidan Los constantes y los inconstantes.
Los de las horas difíciles, los de las horas alegres. A los que sin querer
herí, y sin querer me hirieron. Aquéllos a quienes conozco profundamente,
y aquéllos a quienes apenas conozco por sus apariencias. Los que me deben, y a
quienes debo mucho. Mis amigos humildes y mis amigos importantes. Por eso los
nombro a todos, a todos los amigos que pasaron por mi vida. Los que reciben estemensaje y
los que no lo recibirán. Un árbol de raíces profundas para que sus nombres nunca sean arrancados.Un árbol que al florecer el año próximo nos traiga muchas bendiciones, armonía
perfecta, salud, amory paz. Son mis mejores deseos para esta
Navidad y

Nuevo Año lleno
de: Prosperidad
y
poniendo mucha
felicidad y amor

en cada momento de
la vida.
Con mucho cariño.

dimanche 20 mai 2007

LE CRAZY HORSE - PARIS












LE CRAZY HORSE

Incomincero col raccontarvi una storiella :

In un paesino di provincia sconoscicuto : una fiera. Un signore non meglio identificato . Si aspetta, arriva il momento dell'estrazione, la ruota gira, gira, rallenta, rallenta rallenta e stop si ferma ! Il signore verifica proprio senza nessuna speranza e BINGO ha il numero vincente. Ecco che aspetta tutto contento il premio. Un dirigente vestito con eleganza si avvicina e gli chiede " Abbiamo due premi, lei che cosa sceglie ? Una crociera alle Bahamas o una foto di Ave Ninchi a cavallo ?"

E bello anche Capo Crazy Horse !



Tutto questo per dire a quelli che non conoscono Parigi, che vengono a visitare la Capitale francese sia con i propri mezzi oppure con i tour operator di non precipitarsi al Moulin Rouge, Lido, Folies Bergère che pullulano sui manifesti. Se volete vedere uno spettacolo di nudo artistico sans pareil andate al CRAZY HORSE, dove si è sedotti dalla bellezza delle scenografie, giochi di luci, technica delle ballerine, un capolavoro.
D'altronde dietro le quinte e tutta la settimana durante le ripetizioni, funziona come in un college inglese dove la disciplina, il rispetto degli orari, l'attegiamento in confronto dei dirigenti e la sera, del pubblico, e irreprensibile.



CA C'EST PARIS !

mercredi 16 mai 2007

WOMEN WHO LOVE TOO MUCH




THE NEED TO BE NEEDED,

for many women who love too much, those roles often meant that we denied our own needs while trying to meet the needs of other family members. Perhaps we were forced by circumstances to grow up too fast, prematurely taking on adult responsibilities because our mother or father was too sick physically or emotionally to carry out the appropriate parental functions. ..........
When this happened, we learned too young and too well how to take care of everyone but ourselves. Our own needs for love, attention, nurturing, and security went unmeat while we pretended to be more powerful and less fearful, more grow up and less needy, than we really felt....
We have been pretending to be grown up for so long, asking for so little and doing so much, that now it seems too late to take our
turn. So we help and help, hope that ourfear will go away and our reward will be love.





mardi 15 mai 2007

CONTE DE FEE











Conte de fée



Il était un grand nombre de fois
Un homme qui aimait une femme.

Il était un grand nombre de fois
Une femme qui aimait un homme.

Il était un grand nombre de fois
Une femme et un homme
qui n’aimaitent pas celui et celle qui les aimaient.

Il était une seule fois peut-être
Une femme et un homme qui s’aimaient.


Robert Desnos

dimanche 13 mai 2007

A DREAMER




tAll men dream: but not equally. Those who dream by night in the dusty recesses of their minds wake in the day to find that it was vanity: but the dreamers of the day are dangerous men, for they may act their dream with open eyes, to make it possible......

T.E. LAWRENCE
(Seven Pillars of Wisdom)

samedi 12 mai 2007

STEPHANIE



Mignonne, allons voir si la rose


Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil.

(Ronsard)

°°°

Et rose elle a vécu ce que vivent les roses
l'espace d'un matin

(Ronsard)